Empire de Belondor
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.


Bienvenue sur le forum de l’Empire de Belondor, micronation virtuelle s’inspirant du Premier et du Second Empire français.
 
AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  Connexion  
-40%
Le deal à ne pas rater :
-40% sur le Pack Gaming Mario PDP Manette filaire + Casque filaire ...
29.99 € 49.99 €
Voir le deal

 

 Histoire de Belondor [1]

Aller en bas 
AuteurMessage
Grande Bibliothèque
Multijoueur
Multijoueur
Grande Bibliothèque


Messages : 511
Date d'inscription : 22/09/2012
Localisation : Elbêröhnit
Charge : Grande Bibliothèque impériale de Belondor
Prénom ex-lude :

Histoire de Belondor [1] Empty
MessageSujet: Histoire de Belondor [1]   Histoire de Belondor [1] EmptyMer 3 Oct - 15:08

L'histoire de Belondor antérieure au rétablissement de l'Empire par Nabelnine Ier, père de l'actuel Empereur Nabelnine II, se divise en huit phases, elles-mêmes subidvisées en plusieurs périodes, sur près de six millénaires. Les dates indiquées ici sont approximatives jusqu'à la Grande Révolution, du fait de la très grande difficulté pour différencier clairement les changements de phases et périodes.

I – Les Premiers Temps (3200 av. XX – 1300 ap. XX) :

La Méridie est l'ancêtre du nom de Belondor, avant l'arrivée des Aldars et des Belons sur le sol en question. Les deux premiers millénaires (3200 – 1000 av. XX) ne connaissent comme événement fondamental que le début de l'installation de populations humaines en Méridie, avec l'apparition progressive de l'agriculture, de l'écriture puis des premières cités permanentes en dur et donc de l'aristocratie. La population totale est estimée à moins de 1 million d'habitants.

À partir de 1000 av. XX jusqu'en 100 ap. XX, c'est le Temps des cités. Celles-ci se développent et s'affrontent afin d'agrandir leur territoire. Pendant cette période, faisant suite à l'arrivée au Belondor du Grand Prophète Sevan en l'an 1 en Méridie, les cités se convertissent une à une au syisme : c'est le début de note ère. La population double durant cette période.

De 100 à 650, c'est l'apparition des Cinq Royaumes, issus des cités d'Elbêröhnit, d'Origodes, de Hams-Berg, de Rex Civit et de Veledris. Ces cinq villes ont conquis d'autres puissantes centres urbains afin de se constituer en royaumes. De ces conquêtes vont émerger les « premières nations » de Méridie : le Quentrum (autour d'Elbêröhnit), la Lycoze (autour d'Origodes), la Térèce (autour de Hams-Berg), la Terreforeste (autour de Rex Civit) et le Dolosas (autour de Veledris). Les Cinq Royaumes sont alors peuplés d'environ 3 millions d'habitants.

De 650 à 900, le Royaume de Quentrum conquiert la Térèce et la Lycoze et Maxenine IV de Quentrum, devient Maxenine le Grand, le premier empereur : c'est l'Empire méridien, qui néanmoins ne parvient à vaincre le Dolosas et la Terreforeste. Il succombe aux invasions germaines à partir de 850, comme le reste de la Méridie. Vers 800, on estime sa population totale à 6 millions d'habitants.

De 900 à 1100, la Méridie est sous la domination des Royaumes barbares, eslagnais, euroniens, galabriens, hollyadiens et matnaliens, venus du nord. La population décline fortement malgré l'arrivée des ces migrants, du fait d'épidémies et de famines en nombre. On estime à 2 millions le nombre d'habitants en Méridie à cette époque.

De 1100 à 1150, les barbares sont finalement chassés au cours de la Première Guerre d'indépendance menée par l'aristocratie des « premières nations ». Les Eslagnais vont s'installer dans ce qui deviendra l'Eslagne, tandis que les Euroniens (qui vont devenir les Euronéens), les Galabriens (qui vont devenir les Gélèbrois), les Hollyadiens et les Matnaliens s'installent sur le territoire qui prendra le nom de Germanie.

De 1150 à 1300, c'est la Renaissance. Les Cinq Royaumes sont restaurés et cohabitent de manière relativement pacifique. La population connaît une forte croissance, profitant d'une période de prospérité, atteignant jusqu'à 5 millions d'habitants.


II – L'Âge Sombre (1300 – 1600) :

À partir de 1300 et jusqu'en 1400, les incursions des peuples lungiones, les Belons et les Aldars, venus de l'est, se multiplient en Méridie mais aussi en Germanie, attirés par les richesses et la fertilité du pays : c'est la Longue Mort. Progressivement, ceux-ci s'installent avec femmes et enfants et entendent coloniser la Méridie. Belons et Aldars étant ennemis, ils exportent leurs luttes fratricides en Méridie. La population décline à 4 millions d'habitants.

Entre 1400 et 1500, les Belons et les Aldars se substituent aux monarques des Cinq Royaumes : c'est la Confédération. Si les Belons font profession de foi du monothéisme syiste, les Aldars restent polythéïstes en se convertissant à la zorthodoxie. La population atteint son plus bas depuis les Royaumes barbares avec moins de 2 millions d'habitants au début du siècle puis augmente, atteignant 5 millions d'habitants à son crépuscule.

À partir de 1500 et jusqu'en 1600, la Confédération explose et les Belons et les Aldars s'affrontent dans une guerre au très long cours : c'est la Guerre de Cent Ans. Elle est remportée par les Belons qui chassent les Aldars de la péninsule occidentale du Continent Nord. Ceux-ci émigrent alors avant d'aboutir quelques décennies plus tard sur le Continent Sud. La population en ressort décimée et chute à 3 millions d'habitants.


III – La Grande Construction (1600 – 1950) :

De 1600 à 1750, la Méridie reste ravagée par les Guerres de Succession, car aucune règle précise quant à la succession à la tête des royaumes n'est spécifiée et la noblesse belonne n'hésite pas à prendre les armes pour acquérir un de ceux-ci par la force à la mort du précédent roi. Constantine Bordebon parvient ainsi à prendre le pouvoir en Quentrum vers 1730 et conquiert ensuite les autres royaumes. Installant la dynastie des Bordebon à la tête du Belondor (ainsi qu'on commence à appeler la Méridie) pour plus de huit siècles, il est le premier « roi des Belons ».

De 1750 à 1900, le Royaume des Belons va poser les bases des lois fondamentales de monarchie belonne puis belondaure pour les siècles à venir. Constantine Ier dit le Fondateur divise le Royaume en cinq principautés, une pour chacun de ses fils : les principautés de l'Ecosientais, du Dolosas, de Lycoze, de Terreforeste et de Térèce ; l'Elbêröhnitois constituant le domaine du roi. Les princes du Royaume sont considérés comme les « pairs du Royaume », c'est-à-dire qu'ils sont chargés de l'élection du roi en leur sein. Ceci explique pourquoi tous les rois de Belondor furent issus de la dynastie bordebonienne. À cette fin s'institutionnalise vers 1800 la Chambre des pairs, qui devient conseil du roi, lui imposant parfois ses décisions. La population de ce qui n'est pas encore vraiment le Belondor croît lentement jusqu'à atteindre 4 millions d'habitants.

De 1900 à 1950, Ceronine II dit l'Auguste, ancien prince d'Ecosient, bâtisseur du palais d'Elbêröhnit portant son nom, parvient à renforcer le pouvoir de la dynastie bordebonienne. Il renonce à la désignation de « roi des Belons » pour celle de « roi de Belondor ». Au terme de nombreuses luttes contre ses cousins éloignés, il fait sacrer son fils (le futur Hactorel V dit le Long) et instaure le principe de la succession par hérédité. Le Royaume de Belondor est né.


IV – La Grande Royauté (1950 – 2400) :

De 1950 à 2200, on assiste à la consolidation de la monarchie face aux principautés et autres grands féodaux la constituant (car les princes eux-même accordent des terres à des fidèles, lesquels deviennent ainsi nobles). Aux alentours de 2000, de façon à pouvoir imposer ses décisions à la Chambre des pairs et contrecarrer la puissance des féodaux, Hactorel VI dit le Bel rassemble les « cinq communautés du Royaume » (les seigneurs, les ecclésiastiques, les paysans, les citadins et les corporations) afin de leur faire approuver ses décisions et de leur donner une force plus grande : c'est la première réunion du Congrès du Royaume. Durant cette période, les rois s'appuient sur la Sainte Église syiste occidentale dont la théologie leur permet de légitimer leur autorité croissante. Ils réussissent à empêcher les tentatives des féodaux d'être souverains sur leurs terres, œuvrant à la centralisation du pouvoir en leurs mains, laquelle s'accompagne d'un développement économique et démographique (le Belondor compte 14 millions d'habitants en 2200).

De 2200 à 2400, le Belondor est au summum de sa gloire : c'est le Bicentenaire doré qui en fait la première puissance de l'Occident. Bastion du syisme, la monarchie belondaure mène de nombreuses croisades (six au total) contre ses voisins païens d'Eslagne ou de Germanie qui sont convertis, bien que le Belondor ne parvienne à conserver le contrôle de tout l'Occident. Etolnine V dit le Juste (2300 – 2320) brise la Révolte des Princes puis Hactorel XI dit le Rayonnant (2330 – 2370) conquiert l'Eslagne, le sud de l'Hollyade et une grande partie du Matnal jusqu'aux portes de Brostilon ; il échoue cependant à reconquérir la ville sainte d'Yrusalem, aux mains des halawites, malgré la constitution d'une immense armée. Loïtien II dit d'Outre-mer (2370 – 2390) développe la flotte, colonise l'Ardanie, concurrence la suprématie maritime du Royaume d'Alvion sur mer et envoie plusieurs expéditions de missionnaires en Yrusalem, provoquant des conflits avec l'Aldarnor (fondé par les Aldars). Le Royaume de Belondor est alors à son apogée et compte plus de 35 millions d'habitants en 2390.

V – La Royauté Décadente (2400 – 2570) :

De 2400 à 2470, l'ensemble de l'Occident connaît les Grandes Pestes. Le Belondor est particulièrement touché, lequel voit sa population divisée par deux et pas moins de sept rois en décéder, plus de quinze rois se succédant à la tête de l'État pendant cette période. En conséquence, le Royaume voit sa puissance s'affaisser : la mer n'est plus la priorité, l'Ardanie se soulève face à une imposition devenue insoutenable et se constitue en royaume souverain, tandis que les conquêtes continentales sont mises à mal. Par ailleurs, les princes et leur clientèle relèvent la tête.

De 2470 à 2560, la monarchie est en souffrance : c'est la Grande Crise. Les rois doivent à la fois se battre à l'extérieur (contre les monarchies germaines, l'Alvion ou encore l'Ardanie) mais aussi à l'intérieur contre les Eslagnais qui conquièrent leur indépendance et les princes qui veulent recouvrer leurs prérogatives d'antan. Dans le même temps, les libres penseurs critiquent le régime féodal. Nonobstant, sous les effets des progrès agricoles, la population croit de nouveau pour atteindre 23 millions d'habitants.

De 2560 à 2570, la monarchie est à l'agonie : c'est la Guerre des Sept souverains. À l'assassinat de Constantine IV dit le Jeune, son jeune frère Hadrien II dit l'Éphémère voit les cinq princes (cousins très éloignés) et son dernier frère (Grenel III dit l'Usurpateur) lui contester la couronne. Le Belondor perd alors toutes ses conquêtes matnaliennes et hollyadiennes, tandis que la Gélèbre, l'Ardanie, l'Alvion et l'Eslagne soutiennent chacun un parti différent. Ravagé par la guerre, la population régresse à 19 millions d'habitants. Grenel III finit par l'emporter mais le pays est exsangue.


VI – La Grande Révolution (2573 – 2582) :

En 2573, les idées d'égalité, de liberté, d'unité et de souveraineté nationale, à la suite de libres penseurs, ont fait des progrès parmi les élites des trois communautés de roturiers (les paysans, les citadins et les corporations). On rejette la féodalité et la société d'Ancien Régime. Le pays est secoué de soubresauts et d'émeutes : c'est la Grande Agitation.

En 2575, souhaitant profiter des désordres politiques que connaît le pays dans le but de s'accaparer une part du territoire national, les voisins du Belondor lui déclarent la guerre : c'est le début de la Seconde Guerre d'Indépendance.
Le roi est incapable de faire face et le pays est envahi. Il est déposé et part en exil en Aldarnor (Belondor et Aldarnor avaient entamé un rapprochement politique) : c'est l'avènement de la Ie République. L'égalité en droits est proclamée, les communautés historiques sont supprimées tout comme les privilèges, la laïcité de l'État proclamée, de nouvelles libertés sont octroyées, tandis que tout le pouvoir est concentré au sein de la Diète, unique assemblée du pays, au nom de l'indivisibilité de la République et de la souveraineté nationale. Nonobstant, le nouveau régime a une base censitaire et la Diète n'en est pas moins divisée en de multiples factions rivales qui se livrent une lutte sans merci, parfois jusqu'à la mort. Occupée à mener la résistance aux envahisseurs, elle favorise ainsi l'ascension de talentueux et ambitieux chefs militaires.

En 2581 et 2582, souhaitant profiter de la grande instabilité politique qui règne, pas moins de quatre chefs militaires tentent de s'accaparer le pouvoir : c'est l'Année des Quatre. Si les trois premiers échouent et le paient de leur vie, le dernier réussit. Le populaire et victorieux général Antonine de Temararien, issu de la noblesse du Dolosas, conquiert le pouvoir absolu et se fait décerner le titre de Protecteur de la République par la Diète. La Grande Révolution est finie.


VII – Le Premier Empire (2584 – 2661) :

De 2582 à 2584, Antonine de Temararien concentre tous les pouvoirs à son seul profit et parvient à rétablir l'ordre. Après avoir pacifié le pays, profondément réformé les institutions du pays et ramené la prospérité (la population croit à plus de 22 millions d'habitants), il est plébiscité Empereur de Belondor en 2584, rétablissant la monarchie à son profit sous le nom d'Antonine Ier dit le Grand. Le Premier Empire est né.

Jusqu'en 2601, le nouvel Empereur doit poursuivre la guerre, profitant des circonstances pour étouffer toute velléité d'opposition et renforcer son pouvoir. Il parvient finalement à obtenir la victoire, annexant l'Eslagne et une partie du Matnal. Sans ennemis à l'extérieur, pacifié à l'intérieur, disposant d'un régime stable soutenu par le Peuple et qui permet la prospérité, le Belondor retrouve sa gloire d'antan. De plus, ayant soumis l'Église syiste en lui imposant le Concordat de 2595 qui fait de l'Empereur le maître de celle-ci, Antonine Ier s'accapare la dernière parcelle de pouvoir qui lui manquait. Il est le « Maître de l'Occident ».
Laissant un pays au fait de sa gloire, son fils Antonine II dit le Libéral n'a aucun mal à lui succéder en 2605. Comme le laisse supposer son surnom, il engage un règne réformateur. Mais celui-ci est interrompu : le second Empereur décède en 2617, lors de la dernière bataille d'une nouvelle guerre que le Belondor remporte.

De 2617 à 2661, c'est Amezzianel Ier dit l'Infortuné qui règne sur le Belondor. Après une régence de l'Impératrice-mère Béatrice jusqu'en 2632, il est plébiscité Empereur une fois majeur et gouverne de lui-même. Impuissant à vaincre la flotte alvionnaise, il doit renoncer à reconquérir l'Ardanie, alliée du Royaume d'Alvion. Apportant un soutien financier et logistique aux Bordebon, l'Aldarnor de Vincent Ier dit le Grand est l'âme – avant tout financière – de la Grande Coalition qui voit sept nations se liguer contre l'Empire de Belondor. Finalement trahi par une partie de la noblesse d'Ancien Régime, toujours très attachée aux Bordebon, et de la hiérarchie syiste, qui rejette toujours le Concordat de 2595, l'Empire s'effondre et l'Empereur est assassiné en pleine bataille en 2661, année même de la naissance de l'Héritier du Trône, le futur Nabelnine Ier. La Famille impériale parvient néanmoins à s'enfuir et trouve asile en... Aldarnor, Pierre II dit le Bref montrant plus de sympathie à l'égard de la dynastie temararienne.


VIII – La Restauration (2661 – 2689) :

De 2660 à 2686, les Bordebon de retour au pouvoir semblent tenir en main le pays. Hactorel XIV dit le Bienvenu, Sibenine III dit le Martyr et Charles II dit le Cruel tentent de revenir sur la Grande Révolution et le Premier Empire pour restaurer l'Ancien Régime. Par divers traités, ils acceptent la perte de l'Eslagne et des possessions matnaliennes. Néanmoins, la population croît et atteint 25 millions d'habitants.

De 2686 à 2689, une série d'émeutes puis de véritables soulèvements, d'origine républicaine pour la plupart, surtout en Térèce et en Lycoze met fin à cette relative tranquillité : c'est le début de la Guerre Civile. Les défections dans l'armée royale favorise l'enlisement du conflit.
Sibenine III assassiné, Charles II impose une terreur sans nom pour tenter de rétablir l'ordre. Ceci n'a pour conséquence que de lui faire s'aliéner ses derniers soutiens. Nabelnine de Temararien, prétendant au trône et récemment revenu au Belondor, monte un complot pour renverser le régime en soulevant l'armée cantonnée à Elbêröhnit et aux alentours. La « Révolution impériale », qui prend de court les républicains comme les royalistes, est un succès bien qu'elle ne mette pas fin à la guerre. Alors que les pleins pouvoirs lui sont accordés, Nabelnine Ier est proclamé Empereur de Belondor : le Second Empire est né.

Pour plus de clarté, visitez ce lien :


Pour toute autre information, le Maître du Jeu et les administrateurs sont à votre disposition.
Revenir en haut Aller en bas
http://www.belondor.org/wiki/Encyclopaedia/index.php?title=Accue
 
Histoire de Belondor [1]
Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» Histoire de Belondor [2]
» La religion en Belondor
» Empereurs de Belondor
» La vie politique en Belondor
» Bienvenue en Belondor !

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Empire de Belondor :: ACCUEIL :: Présentation & règles du jeu-
Sauter vers: