Lettre de l'autoproclamé prince de Sorabe

Principauté de Sorabe a écrit:

Citation ::      SON ALTESSE PRINCIÈRE FRÉDÉRIC IER SEIGNEUR DE LUSANCE, PRINCE DE SORABE, ET GRAND-AMIRAL DE TOUS LES OCÉANS DU MICROMONDE
        à

Sa Majesté impériale NABELNINE II, par la grâce de Dieu, Sa Majesté Très-Syiste, Empereur de Belondor, Protecteur de Nouvelle-Argentorate, Médiateur de la Confédération du Sud-Centuryon, etc.,

Cher Cousin,

Il est une grande anomalie que nous n'ayons point été conviés au sommet d'Elbêröhnit. Il est évident que le malheureux différent qui nous oppose y sera traité, et j'estime, qu'en tant que principal intéressé, que moi-même ou qu'une délégation sorabe est indispensable à la résolution de cette malheureuse affaire.

Que sa Majesté ne doute pas une seule seconde des meilleurs sentiments que nous lui portons malgré nos querelles quant à nos États


Frédéric Ier de Lusance, en mer.

Lettre de l'autoproclamé prince de Sorabe Petite10

EMPIRE DE BELONDOR
___________________
Lettre à monsieur Frédéric, dit « seigneur de Lusance »

______________________________________
SA MAJESTÉ L'EMPEREUR

De Sa Majesté impériale NABELNINE II, par la grâce de Dieu, Sa Majesté Très-Syiste, Empereur de Belondor, Protecteur de Nouvelle-Argentorate, Médiateur de la Confédération du Sud-Centuryon, Co-prince de Tràvna etc.,

À monsieur Frédéric, dit « seigneur de Lusance »,

Monsieur,

Vous n'êtes pas sans savoir que c'est en totale violation de la souveraineté belondaure sur l'île de Sorabe que vous vous êtes autoproclamé prince de Sorabe et avez constitué un substitut d'État. Vous n'êtes pas un chef d'État et nous n'avons pas pour habitude d'inviter les personnes morales de droit privé aux sommets internationaux auxquels seuls sont présents les représentants officiels des États reconnus et légitimes.

Néanmoins, par souci d'éviter le recours à la force pour vous faire entendre raison, nous sommes prêts à vous inviter à nous rencontrer en Ardanie, le Primodine 15 Etolnine 2715 (lundi 4 mars 2013). La seule chose que vous ayez à craindre étant la conséquence de vos propos lors de cette entrevue, vous repartirez librement avec vos hommes.

Que Sa Majesté ne doute pas une seule seconde des sentiments que nous lui portons,

D'Elbêröhnit, le Primodine 22 Hactorel 2715 (11 février 2013).

Lettre de l'autoproclamé prince de Sorabe Signat11

Principauté de Sorabe a écrit:

Citation :: Son Altesse Princière Frédéric Ier, Prince-Amiral de Sorabe, seigneur de Lusance,

à

Sa Majesté impériale NABELNINE II, par la grâce de Dieu, Sa Majesté Très-Syiste, Empereur de Belondor, Protecteur de Nouvelle-Argentorate, Médiateur de la Confédération du Sud-Centuryon, Co-prince de Tràvna etc.,

Cher cousin,

C'est avec un grand plaisir que j'accepte de vous rencontrer à la date et au lieu que vous suggérez. Vous n'êtes pas sans savoir que j'exerce en Sorabe tout les pouvoirs régaliens. Notre rencontre sera l'occasion de transformer cette réalité en droit.

Le Belondor a autrefois conquis la Sorabe au mépris des droits de son peuple. Assurément, cela n'a pas plu aux Dieux, puisque la Providence a conduit le Belondor à abandonner son contrôle effectif de Sorabe.
La période belondaure de la Sorabe est marqué, comme toute occupation, par un péché originel. La Sorabe a été annexé au mépris de son peuple. Je conviens bien qu'en ce temps les hommes n'avaient pas la sagesse de croire en la volonté nationale, mais la coutume sorabe exige que celui qui se pare du titre de chef des Sorabes, se doit d'être confirmé par les conseils de pirateries et approuvé par les Grands Capitaines. En méprisant ces institutions, et en les persécutant, le Belondor rendait cette annexion irrégulière et donc nulle en droit.
C'est avec le plein soutien du peuple, des institutions traditionnelles de la Sorabe, et de toute évidence, avec l'assentiment des Dieux, que mon père, Charles Ier, s'est vu reconnaitre comme Prince-Amiral de Sorabe. Cette prise de pouvoir-là est légal, celle de votre aïeul non. Mon pouvoir s'inscrit dans le temps, et dans le service de mes sujets. Qu'avez vous fait pour les sorabes ? Rien. Qu'ai je fait pour les Sorabes ? Tout.

Je sais vos sujets forts remontés contre les miens. Croyez bien que je n'écoute pas ceux, parmi mes mauvais conseillers, qui me suggèrent de débaptiser ma bonne ville de Varennes, en haine de votre nom.
Il est du devoir de nous autres, princes, de dépasser nos ressentiments. Nos deux grandes nations ont tout intérêt à s'entendre. Je m'engage à respecter votre commerce maritime et vos voies de communication. Nos nations sont, par essence, sœurs, et la vraie victoire dans notre différent sera la victoire de la paix et le début de notre bonne entente.

Soyez certain, cher cousin, de ma hâte de vous rencontrer, et recevez en attendant ce jour heureux, mes salutations les plus aimables.

Frédéric.

Principauté de Sorabe a écrit:

Citation :: Son Altesse Princière Frédéric Ier de Lusance
Prince-Amiral de Sorabe et seigneur de Lusance
à
Sa Majesté Impériale NABELNINE II, par la grâce de Dieu, Sa Majesté Très-Syiste, Empereur de Belondor, Protecteur de Nouvelle-Argentorate, Médiateur de la Confédération du Sud-Centuryon, Co-prince de Tràvna etc.,

Cher cousin,

Nabelnine, Nabelnine, ne faites pas votre tête de veau ! Je ne cesse de vous répéter que la Sorabe est mienne ! Est-ce que je vous réclame Varsalance ou Cancraces ? Je suis fort fâché de votre hostilité, je ne cesse de souhaiter votre amitié, et vous ne m'écoutez point. Ne vous sentez point concerné ou offensé par cette base krasslandaise, ce n'est qu'un moyen pour moi de sanctuariser mon territoire, soit une légitime manœuvre pour tout souverain qui se respecte.

Je quitte Lusance à l'instant pour venir vous rencontrer. Je sais que nous devions nous voir précédemment, mais j'ai été requis par le service de mon État. Je n'aime point les Esialiens, je leur trouve un fort mauvais air, et une sorte de mépris dans la façon qu'ont leurs vaisseaux de naviguer quand ils croisent les miens. Ça ne pouvait plus durer, et j'ai du aller les remettre à leur place, avec grand succès d'ailleurs.

Moi-même et ma maison aborderont Ecosient demain. J'espère pouvoir vous rencontrer dans les jours suivants. Je suis porteur de projet de paix, susceptibles de mettre fin à nos différents. Ensemble, nous pourrons œuvrer à la réconciliation des deux États de la nation belondaure.

Soyez certain, cher cousin, de ma hâte de vous rencontrer, et recevez en attendant ce jour heureux, mes salutations les plus aimables.

Frédéric, sur le N.S.A.P Aigle de Lusance, en mer.

» Lettre à Sa Majesté
» Lettre à Sa Majesté
» Lettre à Sa Majesté Nabelnine II
» Lettre à Sa Majesté
» Lettre d'information n°3