Lettre à Sa Majesté apostolique Vincent II d'Aldarnor

De Sa Majesté impériale NABELNINE II, par la grâce de Dieu, Sa Majesté Très-Syiste, Empereur de Belondor, Protecteur de Nouvelle-Argentorate, Médiateur de la Confédération du Sud-Centuryon, Co-prince de Tràvna, etc.,

À Son Cousin Vincent II, Roi d'Aldarnor,


Cher cousin,

Lors de la dernière réunion de notre Conseil privé, nous sommes convenus de réaffirmer notre volonté et notre engagement d'unir par deux fois les maisons de Temararien et d'Autricum par les liens sacrés du mariage. Les maisons régnantes de Belondor et d'Aldarnor, ainsi mettraient de côté les divergences religieuses et politiques historiques qui ont pu avoir cours entre elles par le passé. Aujourd'hui, nous souhaitons avancer vers l'avenir avec confiance de façon à parvenir à bâtir une relation durable fondée sur l'amitié et la franchise entre nos peuples. Il nous apparaît, qu'à cet égard, aussi bien Sa Majesté notre cousin, que nous-même, avons une responsabilité devant l'histoire.

C'est pourquoi, cher cousin, nous avons l'honneur de demander officiellement en mariage la main de votre sœur benjamine, son Altesse royale l'infante Pauline d'Aldarnor, afin qu'elle devienne notre épouse et la future Impératrice de Belondor. Sachez, par là même, que nous sommes toujours autant disposé à vous accorder la main de notre propre sœur cadette, son Altesse impériale la princesse Maria-Aurélia de Belondor, pour votre fils son Altesse royale le victorin Louis d'Aldarnor.

Nous sommes plus que jamais convaincu qu'il est de notre devoir d'agir en faveur d'un rapprochement toujours plus étroit entre nos deux familles, et donc entre nos deux États.


Que Sa Majesté ne doute pas une seule seconde des sentiments que nous lui portons,



D'Elbêröhnit, l'Amezziadine 19 Nabelnine 2715 (26 juillet 2013).

De Sa Majesté impériale NABELNINE II, par la grâce de Dieu, Sa Majesté Très-Syiste, Empereur de Belondor, Protecteur de Nouvelle-Argentorate, Médiateur de la Confédération du Sud-Centuryon, Co-prince de Tràvna, etc.,

À Son Cousin Vincent II, Roi d'Aldarnor,


Cher cousin,

C'est avec un immense plaisir, oserions-nous même dire une grande joie, que nous avons lu le contenu de votre dernière lettre. Sachez que nous sommes impatient de rencontrer madame votre sœur, dont on nous a fait et présenté le portrait d'une grande beauté, en sus de bénéficier de toutes les qualités qui font une grande souveraine et une épouse modèle et aimante. Ensemble, l'Empire de Belondor et le Royaume d'Aldarnor, nous parviendrons à briser toutes les précautions et prévenances pouvant avoir encore cours entre nos peuples. D'ores et déjà, notre peuple approuve avec ferveur cette double union, comme la manifestation du reflux perpétuel de la guerre entre nos deux États et de leur nouvelle amitié.

Nous vous invitons, cher cousin, à venir en Belondor, avec madame son Altesse Royale l'infante Pauline d'Aldarnor et son Altesse royale le victorin Louis d'Aldarnor, et tous les gens de votre suite que vous jugerez nécessaire d'emmener avec vous, ce pour la durée qui vous plaira. L'idéal serait donc que vous puissiez accoster à Ecosient, pour le 5 Ceronine (9 août), de façon à ce que vous arriviez à Elbêröhnit le 6. Vous serez accueilli à Ecosient par leurs Excellences les Connétable et Architrésorier de l'Empire Charles Marksane et Grand Maître de l'Empire le duc Armand de la Croix de Salignac d'Albes.


Que Sa Majesté ne doute pas une seule seconde des sentiments que nous lui portons,



D'Elbêröhnit, l'Amezziadine 26 Nabelnine 2715 (2 août 2013).